Avantages en termes de coûts
des endoscopes à usage unique

Connaissez-vous le véritable coût de l’utilisation d’un endoscope réutilisable ?

Non seulement l’investissement en capital pour un dispositif à usage unique est faible, mais il élimine un certain nombre de coûts cachés liés aux endoscopes réutilisables. En effet, si l’on considère les coûts récurrents liés au retraitement, à l’entretien et aux réparations et les améliorations potentielles du flux de travail, les endoscopes à usage unique Ambu peuvent réellement permettre à votre hôpital dans son ensemble de réaliser des économies.

Coûts associés aux endoscopes réutilisables

Les endoscopes à usage unique éliminent les coûts ci-dessus

5 ways single-use makes sense in terms of costs

Augmenter la capacité selon les besoins sans investissement majeur en capital
Si vous souhaitez augmenter la capacité avec une configuration traditionnelle, vous devez investir dans des endoscopes de différentes tailles et une tour réutilisable avec éclairage et processeurs d’image. Avec notre solution, le seul élément nécessaire pour augmenter le nombre de procédures effectuées est un écran supplémentaire.

Payez uniquement ce dont vous avez besoin
Avec un endoscope par procédure, les coûts opérationnels et le coût total de possession (CTP) peuvent être facilement calculés. Vous ne payez que ce dont vous avez besoin et cette flexibilité réduit également le risque financier dans les périodes où l’activité est faible.

Supprimer les dépenses cachées
Chaque étape du retraitement (prénettoyage, test d’étanchéité, rinçage, désinfection, stérilisation, séchage, stockage ou transport des endoscopes) est une nouvelle dépense à inclure dans vos calculs de coûts. Le concept d’usage unique élimine non seulement ces coûts de retraitement, mais réduit également les coûts de matériel, tels que les détergents de nettoyage, l’eau, les brosses et les équipements de protection individuelle.

Éliminez les opérations complexes et chronophages
En raison des multiples étapes complexes de retraitement de chaque endoscope après utilisation, le respect des recommandations peut s’avérer coûteux, chronophage et gourmand en ressources.1-3 Il n’est pas nécessaire de retraiter les endoscopes à usage unique, ce qui libère de l’espace, réduit les listes d’attente des interventions et redéfinit les priorités du personnel pour plus d’efficacité.

Éliminez les coûts de réparation
Tout d’abord, les coûts et les efforts de maintenance et de réparation, ainsi que les ressources consacrées au transport, à l’administration et à la formation sont supprimés. Deuxièmement, vous n’avez pas besoin de souscrire des contrats d’investissement complexes et des contrats de service à long terme souvent contraignants. Enfin, vous n’avez pas à craindre d’endommager des endoscopes coûteux lors de la réalisation de procédures ou de la formation.

En savoir plus sur les avantages de l’usage unique

Découvrez comment les endoscopes à usage unique Ambu offrent une qualité et des performances élevées et constantes, contribuent à l’optimisation du flux de travail et améliorent la sécurité des patients dans de nombreux domaines cliniques.

AVANTAGES DE L’USAGE UNIQUE

En savoir plus sur les endoscopes à usage unique Ambu pour les services cliniques

Gastro-entérologie/strong>
Explorer

Urologie
Explorer

Pneumologie
Explorer

Oto-Rhino-Laryngologie
Explorer

Références

1. Ofstead Cori L, Quick Mariah R, Eiland John E, et al., 2017: A glimpse at the true cost of reprocessing endoscopes: Results of a pilot project. www.iahcsmm.org. https://www.bostonscientific.com/content/dam/bostonscientific/uro-wh/portfolio-group/LithoVue/pdfs/Sterilization-Resource-Handout.pdf. Accessed May 28, 2023

2. Rutala WA, Kanamori H, Sickbert-Bennett EE, Weber DJ. What’s new in reprocessing endoscopes: Are we going to ensure “the needs of the patient come first” by shifting from disinfection to sterilization? Am J Infect Control. 2019 Jun;47S:A62–6

3. Rubin ZA, Kim S, Thaker AM, Muthusamy VR. Safely reprocessing duodenoscopes: current evidence and future directions. Lancet Gastroenterol Hepatol. 2018;3(7):499-508.

keyboard_arrow_up